Comment sortir d’une copropriété verticale ?

Quitter une copropriété est le désir parfois exprimé par les copropriétaires, parce qu’ils s’efforcent d’assurer une gestion indépendante de leurs actifs, ou parce que les autres copropriétaires refusent de leur permettre de réaliser certains travaux ou installations.

Indépendamment de la motivation qui pousse un copropriétaire à vouloir quitter la copropriété, cette opération, également connue sous le nom de « partage de la copropriété », est assez délicate et il est sage d’être accompagnée d’un avocat spécialisé en copropriété.

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Pour envisager la sortie d’une copropriété, il est nécessaire de s’assurer que cette sortie est techniquement et juridiquement possible.

Le syndic devrait alors être invité à convoquer une assemblée générale pour se prononcer sur la demande de retrait du copropriétaire concerné.

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Enfin, il sera nécessaire d’organiser la séparation légalement — en modifiant la réglementation de la copropriété — et financière en prévoyant le règlement et/ou le remboursement des frais liés au sort de la copropriété qui en sortit.

Ce processus de sortie d’un condominium est donc long, il se déroule habituellement dans plusieurs mois, et bien sûr doit respecter les règles applicables à la copropriété.

Quitter une copropriété : qui est inquiet ?

Qui pourrait sortir d’une copropriété ?

Lorsqu’ il est physiquement possible de séparer les bâtiments et le terrain qui forme une copropriété, le (s) copropriétaire (s) dont les parcelles sont « amovibles » peuvent envisager de quitter l’appartement.La division ne devrait pas inclure les parties communes de la copropriété qui ont un copropriétaire aurait un plaisir exclusif. Cela peut être le cas, par exemple, avec un jardin commun dont beaucoup, généralement celui du rez-de-chaussée, auraient un plaisir exclusif mais ne le posséderaient pas.

Cela peut être le cas lorsque, par exemple, une copropriété est constituée de deux bâtiments distincts.

Le (s) copropriétaire (s) de tous les immeubles peut prendre des mesures qui les conduiront à quitter la copropriété d’origine.

Pourquoi sortir d’une copropriété ?

La décision de quitter un condominium est généralement motivée par la présence d’un trop grand nombre de travaux dans la copropriété ou, au contraire, par leur absence.

Cette décision peut également résulter de désaccords entre copropriétaires, en particulier dans les condominiums avec un petit nombre de parcelles. En effet, le maintien de la vie privée en copropriété n’est pas toujours évident.

De plus, le fait de quitter une copropriété peut avoir pour but de réduire le coût de la copropriété.

Son fonctionnement peut donc revêtir une importance particulière lorsque la copropriété se compose de bâtiments d’âges différents, qui ne ont les mêmes « besoins » en termes d’entretien et de réparation.

Dans un tel contexte, les propriétaires de l’immeuble le moins cher en entretien et réparation peuvent avoir un intérêt à quitter la copropriété pour cesser de contribuer au coût d’un ou de plusieurs autres bâtiments que la copropriété d’origine et plus « gourmand » dans les coûts d’entretien, de rénovation, etc.

Les copropriétaires sécessionnistes peuvent également viser à créer un nouveau condominium sans fiduciaire ou, plus précisément, un condominium plus petit qui peut être géré par un fiduciaire bénévole ou coopératif.

Quitter une copropriété : qui prend la décision ?

Lorsque la scission implique plusieurs copropriétaires, ils formeront entre eux un nouveau syndicat de copropriétaires qui décideront de se retirer de la copropriété originale.

Par exemple, ils auront besoin d’un copropriété par la loi d’établir.

Lorsqu’ un seul copropriétaire décide de quitter le condominium, il soumettra simplement sa demande à la copropriété qu’il a l’intention de quitter.

Dans tous les cas, c’est l’assemblée générale des copropriétaires de la copropriété initiale qui décide sur le projet de quitter la copropriété.

La décision peut ou non être adoptée à l’assemblée générale, à la majorité de l’article 25 par la copropriété initiale.

Les copropriétaires de béton seront invités à voter sur des résolutions sur :

  • Le principe de division,
  • Les modalités de division (technique, juridique et financier),
  • La modification du règlement de la copropriété, etc.

Il appartient à l’administrateur de la copropriété d’établir l’ordre du jour et les copropriétaires dans le délai prescrit par la loi la convocation d’envoyer l’assemblée générale de la copropriété pour décider de ces points.

Et puis ?

La VP de la société condominiale AG qui approuve ou rejette les résolutions au moment de quitter la copropriété doit être notifiée aux copropriétaires afin d’encourager le fiduciaire.

Si aucune objection n’est faite aux décisions de l’assemblée générale de la copropriété, elles s’appliqueront. Les dispositions techniques et financières de la section seront mises en œuvre : fermeture du passage, remboursement des provisions sur les redevances, etc.

Quoi qu’il en soit, quitter un condominium ne peut pas permettre à un copropriétaire de renoncer aux coûts qui resteraient dus à la copropriété d’origine.

La loi ALUR, qui instituait l’obligation d’enregistrer les copropriétés, prévoyait que la copropriété d’origine conserve ses créances et hypothèques sur des parcelles l’immobilier.

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