Qu’est-ce qu’une surface au sol ?

Le sol de la route d’une construction est une zone réglementaire dans le domaine de l’urbanisme. Il est d’abord utilisé pour compléter le concept de surface au sol afin de déterminer la portée des permis d’urbanisme. Il vous permet également de calculer le coefficient sol droit de passage (CES), ce qui limite la surface constructible sur votre pays. Il existe également une variante du droit fondamental pour le calcul du seuil pour l’appel obligatoire à un architecte. Ce fichier vous présente en détail le calcul de l’emprise fondamentale, des variantes et du CES.

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Calcul du droit fondamental : définition

Tout d’abord, le droit fondamental est défini à l’article R.420-1 du code d’urbanisme.

Le droit fondamental pour l’application de ce livre est la projection verticale du volume du bâtiment, y compris tous les surplombs et les surplombs.

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Cependant, les ornements tels éléments de modnature et les auvents sont exclus, ainsi que les avant-toits quand ils ne sont pas supportés par des poteaux ou des feuilles ondulées.

Le calcul du droit fondamental de déterminer la portée des permis d’urbanisme ne peut être effectué que selon la définition ci-dessus. Toutefois, aux fins des documents d’urbanisme, et en particulier pour le calcul du coefficient de pondération sur place, chaque municipalité peut avoir une définition différente.

Calcul détaillé du droit fondamental

Le droit fondamental est le seul domaine réglementaire qui ne tient pas compte de tous les niveaux d’une structure. En effet, c’est une projection de la structure sur le sol naturel.

Donc absolument n’importe quel élément de la construction sera projeté sur le sol. Il n’y a que deux éléments qui ne seront pas pris en compte dans l’emprise fondamentale :

  • ornements tels éléments de modnature et auvents
  • bords de toiture quand pas de pile ou supports corbaux

Pour rappel, les éléments suivants sont considérés comme des constructions et restent donc dans l’emprise fondamentale :

  • auvents et capuchons supportés par des poteaux ou des encorbels
  • structures non fermées (grange, abris, enclos, etc.)
  • garage et abri
  • loggias et balcons, même s’il n’y a pas de pile les soutient
  • terrasses, pentes extérieures ou une plate-forme, élevé à plus de 60 cm du sol naturel
  • piscines, leur couverture possible, y compris la superficie du bassin

Mise en œuvre : calcul du droit fondamental pour l’utilisation d’un architecte

Le législateur a récemment introduit une nouvelle subtilité dans la loi. Pour définir les cas de déviation d’un recours obligatoire devant un architecte, la loi fait référence au motif. Il convient de noter que ce droit n’est pas le même sur le terrain que celui défini au début de cette Article. Il s’agit en fait de la « surface du sol constitutif » droit de passage.

Pour le calculer, procédez de la même manière, mais vous distrayez le droit sur le chemin du sol des éléments non constitutifs de la surface du sol. Ceux-ci comprennent les garages, les piscines non fermées et les piscines. Attention, déduisez ces surfaces seulement s’il n’y a pas d’autres surfaces qui forment une surface de plancher sur un étage supérieur ou inférieur !

Calcul du droit fondamental (CES)

Le coefficient d’utilisation des sols (SOC) ne doit pas être confondu avec le coefficient d’utilisation des terres (SOC). Ce dernier n’existe que dans les anciens règlements d’urbanisme et est destiné à disparaître.

Tout d’abord, il faut savoir que chaque commune conserve elle-même les modalités de calcul du droit fondamental qu’elle conserve pour l’application de son aménagement local (PLU). Il peut donc également donner une définition différente de la coefficient juridique fondamental. Nous vous conseillons de vérifier dans le général ou le lexique du PLU si la municipalité n’a pas indiqué sa définition du droit de la route au sol ou CES. Il y a des municipalités qui tiennent compte de l’avant-toit pour le calcul du droit de passage maximum de terrain constructible.

En l’absence de clarification dans le PLU, la définition du code d’urbanisme est adoptée (art. R.420-1).

L’ESC peut être à la fois minimale et maximale, mais dans la grande majorité des cas, elle est maximale. Fondamentalement, le règlement PLU le précise.

À l’exception de rares cas particuliers pour certaines municipalités, le CES est calculé comme suit :

CES = Superficie maximale de votre pays

Ainsi, il est souvent sous forme de pourcentage ou est un nombre compris entre 0 et 1.

Enfin, si un PLU fixe un CES maximum et que vous souhaitez connaître le droit de terrain constructible sur votre pays, ce calcul devrait être effectué :

Route maximale = Superficie de votre pays x CES

Diagrammes et tableaux comparatifs avec d’autres surfaces

>> Tableau comparatif des surfaces (format pdf) Dessins comparatifs des surfaces (format pdf)

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